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Perspectives Séculaires

Des perturbations croissantes

La pandémie a amplifié les sources de perturbations à long terme. Dans ce contexte, la sélection des instruments de crédit et la génération d'alpha revêtent une importance de plus en plus élevée.

L'auteur

Andrew Balls

CIO Global Fixed Income

Daniel J. Ivascyn

Group Chief Investment Officer

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LIRE LES PERSPECTIVES

Le forum séculaire annuel de PIMCO de septembre correspondait au 39e dans l'histoire de la société et le premier entièrement virtuel. Grâce aux apports de nos intervenants externes (voir encadré), des membres du comité consultatif mondial et d'autres consultants, notre équipe mondiale de professionnels des placements a mis le zoom (dans les faits par Webex) sur les perspectives économiques, politiques et financières mondiales à l'issue de la pandémie ainsi que sur l'évolution des marchés au cours des trois à cinq prochaines années, avant d'en déduire les implications pour les portefeuilles des investisseurs. Voici nos conclusions.


Résumé des perspectives structurelles

Téléchargez notre présentation à destination des investisseurs pour connaître nos points de vue sur les risques et les opportunités qui se présentent

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Conclusion pour les placements

Le but du forum séculaire consiste à repérer les risques et les menaces, anticiper les tendances à long terme et établir des garde-fous pour nos portefeuilles ainsi que des priorités de gestion du risque.

La réalité d'un contexte de rendements faibles

En toute objectivité, et malgré une progression continue des actifs satisfaisante cette année (pour une période de crise), l'évolution des marchés à moyen terme risque de diverger substantiellement de l'expérience de la dernière décennie. Les valorisations boursières et obligataires atteignent actuellement des niveaux qui compromettent assez sérieusement la perspective d'une inflation du prix des actifs découlant des interventions réelles ou annoncées des pouvoirs publics, particulièrement des banques centrales dans leur effort louable d'atténuer les effets des prochains chocs. La faiblesse historique des taux de rendement et le niveau élevé des cours boursiers justifient une révision à la baisse des anticipations de rendement de la part des gestionnaires de portefeuille et des responsables de la répartition de l'actif, plutôt que de tenter de maintenir une rentabilité conforme à la moyenne des dernières années en s'aventurant trop loin dans les segments de qualité moindre. Les périodes au cours desquelles les placements procuraient des rendements nuls, ou négatifs, ne manquent effectivement pas dans l'histoire et la dernière décennie ne peut servir de référence pour la prochaine.

Les investisseurs devraient réviser à la baisse leurs attentes de rendement plutôt que s’aventurer trop loin dans les segments de qualité moindre.
Boat and jetty at Petrochemical Corporation of Singapore

Alors que les taux directeurs ne feront vraisemblablement pas l'objet du moindre relèvement pendant longtemps, bien au contraire, nous n'anticipons effectivement aucune hausse ou presque des taux de rendement des obligations d'État au cours des trois à cinq prochaines années. Ceux-ci pourraient même baisser dans l'expectative d'un revirement monétaire en faveur de taux d'intérêt négatifs, sachant que l'on ne peut pas non plus totalement exclure une hausse dans le cas d'une remontée soutenue des anticipations d'inflation en raison des interventions monétaires et budgétaires. En réalité, le risque d'une accélération de l'inflation nous paraît très peu probable à court terme, mais dans un avenir plus éloigné nous estimons judicieux de s'en prémunir à l'aide de TIPS (Treasury Inflation-Protected Securities), stratégies de courbe de taux, investissement dans l’immobilier et potentiellement exposition aux matières premières.

Le contexte de faiblesse des taux de rendement et la quête de rendement des investisseurs qui en découle continueront vraisemblablement de soutenir les marchés boursiers. En revanche, le niveau actuel des valorisations exige d'éviter tout optimisme excessif. Effectivement, la situation du Japon au cours des dernières décennies et de l'Europe plus récemment montre que la faiblesse des taux de rendement ne garantit aucunement la réalisation de gains exceptionnels sur les marchés boursiers.

Dans une période de morosité économique, nous évaluons la perspective d'une hausse séculaire des profits à l'aune d'une stabilisation, ou même d'une contraction, du PIB potentiellement provoquée par un changement des objectifs des sociétés ou des pouvoirs publics, d'un resserrement de réglementation ou d'une hausse des impôts visant le capital. Ces aspects importants pourraient d’ailleurs bien se manifester de façon imminente en fonction du résultat de l'élection aux États-Unis.

Nous entrevoyons également des risques liés à la démondialisation ainsi qu'aux enjeux environnementaux, lesquels pourraient occasionner une diminution significative de la valeur des actifs des sociétés les plus exposées. Les dimensions ESG (environnementales, sociales et de gouvernance) revêtent effectivement une importance croissante dans l'esprit de nos clients, et l'évaluation de leurs incidences fait depuis longtemps partie intégrante de notre processus d'investissement.

Occasions de placement en instruments de crédit

Les écarts de crédit ont quasiment renoué avec leurs minimums historiques, mais nous nous efforcerons de créer de la valeur grâce à une sélection active des titres.

En mars 2020, les banques centrales ont soutenu les marchés du crédit, alors en proie à des ruptures, en restaurant la liquidité nécessaire à leur bon fonctionnement. En revanche, elles ne protégeront pas les investisseurs contre un risque de défaillance, pourtant disproportionnellement réel pour certains secteurs et émetteurs dans une période d'immobilisation de l'activité économique prolongée à cause de la COVID. En l'occurrence, nous ne tenons pas à investir outre mesure en instruments de crédit générique, mais souhaitons exploiter pleinement notre équipe mondiale de gestionnaires de portefeuille et d'analystes de recherche dans cette catégorie d'actif.

Les titres adossés à des créances hypothécaires garantis des États-Unis nous semblent toujours représenter une source de revenu relativement stable et défensive pour nos portefeuilles. De plus, leurs homologues non garantis et, en règle générale, les titres adossés à des actifs aux États-Unis et dans le monde offrent un rang élevé dans la structure du capital et un profil de risque à la baisse favorable en cas de données économiques décevantes ou de repli du marché.

Les stratégies de placement privé en crédit ou en immobilier offrent potentiellement des rendements attrayants, notamment pour les investisseurs ayant une optique à long terme qui acceptent des risques inhérents plus élevés, récoltant au passage la prime de non-liquidité associée à ces catégories.

Occasions de placement mondiales

Nous prévoyons dénicher des opportunités valables en Europe si la stabilité actuelle de la zone euro se poursuit ou dans l'éventualité, favorable aux investisseurs actifs que nous sommes, que l’UE continue à évoluer comme à son habitude, en faisant un pas en avant puis deux pas en arrière. La principale source d'incertitude à cet égard tient à la façon dont l'instrument budgétaire (et dans une moindre mesure la politique monétaire) continuera à se déployer selon une coopération accrue digne de celle observée au pire moment de la crise de la COVID, ou si les difficultés propres à chaque État membre l’emporteront.

L'Asie devrait également réserver des occasions attrayantes pour les investisseurs qui recourent à une sélection active d'obligations de sociétés, ayant démontré d'une certaine manière une plus grande stabilité que le reste du monde durant la crise de la COVID.

À notre avis, les marchés émergents offrent généralement un potentiel de rendement supérieur à celui des pays développés en raison de l'état actuel des valorisations, mais peuvent aussi subir des perturbations plus significatives qui tendent à régulièrement changer la donne.

La gestion active nous paraît essentielle pour composer avec le risque de crédit.
India Flower Market

Nous demeurons donc persuadés, comme pour les obligations de sociétés, qu'une gestion active ne représente pas un luxe, mais bien une obligation, et nous efforçons de dénicher des occasions de rendement attrayantes tout en gérant les risques des portefeuilles des clients.

Les taux directeurs s'approchant en toute vraisemblance de leur plancher absolu, alors que les incertitudes à court et moyen termes s'accumulent sur le plan des politiques budgétaires, nous estimons que les taux de change serviront de valves de dépressurisation pour absorber les chocs. Nous anticipons donc un contexte de volatilité accrue parmi les devises et veillerons à profiter des occasions ainsi créées, moyennant un dimensionnement prudent.

En nous fiant aux valorisations initiales, nous n’entrevoyons pas de tendance séculaire majeure pour les devises des marchés développés. Les perspectives cycliques concernant la reprise mondiale après le choc de la COVID n’excluent toutefois pas la possibilité d'une dépréciation complémentaire du dollar US. À l’inverse, des perturbations répétées durant une longue période risquent de mener à des périodes de ruée vers le billet vert, toujours considéré comme valeur refuge par de nombreux investisseurs dans un monde pourtant plus multipolaire qu’autrefois.

Les devises (tout comme les obligations) des marchés émergents offrent un potentiel de rendement supérieur en raison des valorisations actuelles, mais comportent également des risques liés aux perturbations locales et mondiales.

les mauvaises nouvelles pourront être, en effet, mauvaises

Les rendements auxquels il faut s'attendre durant cette période séculaire se caractériseront très probablement par leur faiblesse, mais aussi par une plus grande volatilité. En tant qu'investisseurs, nous devons nous y préparer.

La première partie de la période à venir réservera de nombreuses incertitudes sur l'évolution de la pandémie et la tendance de la reprise, lesquelles généreront vraisemblablement une recrudescence de volatilité financière et d'instabilité économique que les banques centrales ne parviendront pas nécessairement à supprimer malgré tous leurs efforts.

Alors que durant les dix dernières années les mauvaises nouvelles comportaient souvent une dimension positive, puisqu’elles déclenchaient les interventions des banques centrales qui alimentaient des anticipations positives de la part des investisseurs, la situation nous semble objectivement bien plus sérieuse aujourd'hui. Au cours des trois à cinq prochaines années, il faudra effectivement s'attendre à ce que de mauvaises nouvelles macro-économiques engendrent des événements négatifs pour les marchés des actifs à risque.

Même si les prévisions à long terme comportent toujours une dose d'incertitudes, il nous semble que la probabilité de risques extrêmes a augmenté en raison de la période de tâtonnements qui s'annonce sur le plan monétaire comme budgétaire et du manque de visibilité entourant leurs incidences respectives. En conséquence, on peut échafauder une multitude de scénarios macro-économiques et financiers, quels que soient l'horizon de placement retenu ou la région concernée.

La perspective d'un contexte plus délicat sur les marchés ainsi que le regain d'instabilité économique et de volatilité boursière exigent de privilégier la préservation du capital et d'éviter le risque de pertes absolues. Nous estimons également que la période s'avérera propice à une approche patiente, globale et souple, afin d'exploiter le plus vaste univers de placement possible et de dénicher des occasions ajustées au risque attrayantes à l'échelle mondiale.

La diminution des rendements signifie de plus que l'alpha pèsera probablement encore davantage dans la rentabilité globale des placements, et les gestionnaires actifs qui parviendront à l'augmenter sérieusement au cours du cycle permettront à leurs clients de composer plus efficacement avec les difficultés ambiantes. Chez PIMCO, nous ne compterons pas nos efforts, mobilisant l'ensemble de nos spécialistes sectoriels et professionnels mondiaux pour générer de l'alpha, gérer les risques et accompagner nos clients durant ces perturbations.


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Processus d’investissement de PIMCO

La puissance de la diversité des idées

PIMCO estime que les rendements dépendent de la qualité de la préparation. Le processus d’investissement de PIMCO nous permet d’évaluer continuellement les évolutions des risques et des opportunités, dans le but de créer des solutions novatrices et tournées vers l’avenir pour nos clients.

Le Forum séculaire, haut lieu de notre processus d'investissement depuis 1982, vise à identifier les principaux vecteurs économiques et politiques qui façonneront l’économie mondiale et les marchés financiers au cours des trois à cinq prochaines années. Accompagnés de personnalités intellectuelles de premier plan, de responsables politiques et d’experts, des centaines de professionnels des placements de PIMCO provenant du monde entier participent à ce débat exigeant et animé. Exploitant les nouvelles technologies, nous avons récemment amélioré la présence mondiale grâce à des outils de collaboration numériques qui permettent des interactions en temps réel à l’échelle de la planète et renforcent ainsi notre faculté à remettre en cause nos postulats actuels par une prise en compte de l’ensemble des renseignements alimentant les perspectives de PIMCO.


Conférenciers du Forum séculaire 2020

Jason Bordoff

Directeur et fondateur du Center on Global Energy Policy, professeur de pratique professionnelle en affaires publiques et internationales, Université Columbia.

Mark Carney 

Envoyé spécial aux Nations Unies pour le financement de l'action climatique, conseiller financier du Royaume-Uni pour la présidence de la COP26, ancien gouverneur de la Banque d'Angleterre (2013-2020), ancien gouverneur de la Banque du Canada (2008-2013), ancien président du conseil de stabilité financière (2011-2018).

Mario Draghi

Ancien président de la Banque centrale européenne (2011-2019)

Jim Messina

Ancien chef de cabinet adjoint à la Maison-Blanche (2009-2011), ancien directeur de campagne du président Barack Obama (2012)

Michael Murphy

Ancien stratège en chef de John McCain, Mitt Romney, Jeb Bush et Arnold Schwarzenegger

Condoleezza Rice

66e secrétaire d'État des États-Unis, nouvelle directrice de l'Institution Hoover, conseillère à la sécurité nationale des États-Unis (2001-2005)

Christina Romer

Professeure d'économie, Université de Californie à Berkeley, ancienne présidente du Council of Economic Advisors des États-Unis (2008-2010)

À propos de nos forums

Constamment améliorés depuis près de 50 ans et mis à l'épreuve virtuellement dans tous les contextes boursiers, les forums séculaires et cycliques de PIMCO constituent le fondement de son processus d'investissement. Quatre fois par an, nos spécialistes de l'investissement venus du monde entier se réunissent pour débattre de la situation sur les marchés et l'économie à l'échelle mondiale, ainsi que pour identifier les tendances qui auront, à leur avis, d'importantes implications en termes d'investissement.

Lors du Forum séculaire, qui se tient une fois par an, nous nous concentrons sur les perspectives des trois à cinq prochaines années afin que nos portefeuilles soient positionnés de sorte à bénéficier pleinement des évolutions et des tendances structurelles de l'économie mondiale. Estimant que la diversité des idées rehausse les résultats de placement, nous invitons des intervenants prestigieux (lauréats du prix Nobel d’économie, responsables politiques, investisseurs et historiens) qui enrichissent nos débats grâce à leurs points de vue précieux et pluridimensionnels. Nous bénéficions également de la participation active du Conseil consultatif mondial de PIMCO, une équipe d’experts de renommée mondiale en matière économique et politique.

À l'occasion des forums cycliques, qui sont organisés trois fois par an, nous nous intéressons aux perspectives des six à douze prochains mois, en analysant les dynamiques économiques des grands pays développés et émergents. Notre objectif est d'identifier les éventuels changements de politique monétaire et budgétaire, de primes de risque ou de valorisations relatives, qui constituent autant d'éléments conditionnant le positionnement des portefeuilles.

Déclarations

Toronto
PIMCO Canada Corp.
199 rue Bay, bureau 2050,
Commerce Court Station
P.O. Box 363
CP 363, Toronto, ON, M5L 1G2,
416.368.3350

Les rendements passés ne constituent pas une garantie ou un indicateur fiable des résultats futurs. 

Tous les placements comportent un risque et peuvent perdre de la valeur. Investir sur le marché obligataire comporte certains risques, y compris des risques associés au marché, aux taux d’intérêt, aux émetteurs, à la solvabilité de l'émetteur, à l'inflation et à la liquidité. La valeur de la plupart des fonds et stratégies obligataires est affectée par les fluctuations des taux d'intérêt. Les obligations et stratégies obligataires ayant des durées plus longues tendent à être plus sensibles et plus volatiles que celles ayant des durées plus courtes. En général, le cours des obligations baisse lorsque les taux d'intérêt montent et le contexte actuel de taux faibles augmente ce risque. Les réductions actuelles des capacités des contreparties obligataires pourraient contribuer à diminuer la liquidité du marché et à en augmenter la volatilité. La valeur de rachat des placements en obligations peut être inférieure ou supérieure à leur valeur originale. Les obligations indexées sur l'inflation (OII) émises par un gouvernement sont des titres à revenu fixe dont la valeur de remboursement est ajustée périodiquement en fonction du taux d'inflation. Les OII perdent de la valeur lorsque les taux d'intérêt réels augmentent. Les Treasury Inflation-Protected Securities (TIPS) sont des OII émises par le gouvernement américain. La valeur des actions peut diminuer en raison de la conjoncture sectorielle, économique ou boursière, perçue ou réelle. Les matières premières sont exposées à des risques plus élevés, notamment des risques politiques, réglementaires, liés au marché ou aux conditions naturelles. La valeur de l'immobilier et des portefeuilles investissant dans ce secteur peuvent fluctuer en raison de sinistres, de condamnations, de changements économiques mondiaux et locaux, de l'offre et de la demande, des taux d'intérêt, du taux d'imposition foncier, de la réglementation des loyers, des règlements de zonage et des dépenses de fonctionnement. Les titres adossés à des hypothèques et à des actifs peuvent être sensibles aux fluctuations des taux d'intérêt et soumis au risque de remboursement anticipé. S'ils sont généralement garantis par des gouvernements, des agences gouvernementales ou des entités privées, rien ne dit que ces derniers honoreront leurs engagements. L'investissement dans des titres libellés en devise étrangère et/ou domiciliés à l'étranger peut entraîner des risques plus élevés en raison des fluctuations de change et des risques économiques et politiques potentiellement plus élevés dans les marchés émergents. Les taux de change peuvent fluctuer de façon significative durant de courtes périodes et peuvent diminuer les rendements d'un portefeuille. Les stratégies de placements privés impliquent un niveau de risque élevé et les investisseurs potentiels sont informés qu’ils doivent détenir des moyens financiers suffisants pour ne pas avoir nécessairement besoin des liquidités investies et pour assumer les risques économiques, notamment la possibilité de perte totale. Le risque de gestion se définit par la possibilité que les techniques de placement et d’analyse des risques appliquées par PIMCO ne produisent pas les effets escomptés et que certaines politiques ou certains événements affectent ces techniques dans le cadre de la gestion de la stratégie.

Les opinions formulées à propos des tendances des marchés financiers ou des stratégies des portefeuilles sont basées sur la conjoncture, laquelle évolue.Il n’existe aucune garantie que ces stratégies de placement seront efficaces dans toutes les conjonctures ou qu'elles seront adaptées à tous les investisseurs. Chaque investisseur devrait examiner sa capacité à investir à long terme, même en période baissière sur les marchés.Les hypothèses et perspectives de rendement peuvent changer sans préavis.Les investisseurs devaient consulter leur conseiller en placement avant de prendre une décision de placement.

L’alpha est une mesure du rendement ajusté au risque obtenue en comparant la volatilité (risque lié au prix) d'un portefeuille et son rendement ajusté au risque par rapport à un indice de référence; le rendement excédentaire par rapport à l’indice représente alpha.

PIMCO offre de façon générale des services aux institutions qualifiées, intermédiaires financiers et investisseurs institutionnels. Les investisseurs particuliers devraient communiquer avec leur propre conseiller financier pour déterminer les choix de placement les mieux appropriés à leur situation financière. Ce document contient les opinions du gérant, lesquelles sont sujettes à modification sans notification préalable. Le présent document est distribué à titre d'information uniquement et ne doit nullement être considéré comme un conseil en investissement ou une recommandation relative à quelque valeur mobilière, stratégie ou produit d'investissement que ce soit. Les informations contenues aux présentes proviennent de sources considérées comme fiables, mais ne sont pas garanties. Aucune partie de ce document ne peut être reproduite sous aucune forme ni utilisée comme référence dans une autre publication, sans permission écrite expresse. PIMCO est une marque d’Allianz Asset Management of America L.P. aux États-Unis et ailleurs. ©2020, PIMCO.

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